- EAN13
- 9782384313419
- ISBN
- 978-2-38431-341-9
- Éditeur
- Le Mot et le reste
- Date de publication
- 31/05/2024
- Collection
- Attitudes
- Nombre de pages
- 312
- Dimensions
- 20,9 x 14,7 x 2,6 cm
- Poids
- 404 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
Jeune pianiste de jazz dans les boîtes du port de Nice, Alain Goraguer
commence réellement sa carrière dans la chanson rive gauche, aux
côtés de Boris Vian, pour lequel il compose certaines chansons
restées célèbres, la « Java des bombes atomiques » et « Je bois ».
Repéré par Philips, il orchestre ensuite les débuts d’un artiste
(« Le poinçonneur des Lilas », « L’eau à la bouche ») qui tardera à
rencontrer le succès : Serge Gainsbourg. Sa carrière prend ensuite
son envol et il arrange les classiques que sont à présent « Poupée
de cire, poupée de son » de France Gall, « Inch’Allah » d’Adamo,
« Le métèque » de Georges Moustaki ou encore « La montagne »
de Jean Ferrat. Parallèlement à sa carrière d’arrangeur, les réalisateurs
le sollicitent et Goraguer écrit la musique de plusieurs films,
dont celle de La Planète sauvage, qui sera samplée par Madlib, J Dilla,
Flying Lotus, la crème des beatmakers américains. En s’appuyant
sur les entretiens qu’Alain Goraguer lui a accordés avant son décès,
et les riches archives qu’il avait conservées, l’auteur s’attache à
retracer le destin hors norme d’un homme qui avait choisi de rester
dans l’ombre.
commence réellement sa carrière dans la chanson rive gauche, aux
côtés de Boris Vian, pour lequel il compose certaines chansons
restées célèbres, la « Java des bombes atomiques » et « Je bois ».
Repéré par Philips, il orchestre ensuite les débuts d’un artiste
(« Le poinçonneur des Lilas », « L’eau à la bouche ») qui tardera à
rencontrer le succès : Serge Gainsbourg. Sa carrière prend ensuite
son envol et il arrange les classiques que sont à présent « Poupée
de cire, poupée de son » de France Gall, « Inch’Allah » d’Adamo,
« Le métèque » de Georges Moustaki ou encore « La montagne »
de Jean Ferrat. Parallèlement à sa carrière d’arrangeur, les réalisateurs
le sollicitent et Goraguer écrit la musique de plusieurs films,
dont celle de La Planète sauvage, qui sera samplée par Madlib, J Dilla,
Flying Lotus, la crème des beatmakers américains. En s’appuyant
sur les entretiens qu’Alain Goraguer lui a accordés avant son décès,
et les riches archives qu’il avait conservées, l’auteur s’attache à
retracer le destin hors norme d’un homme qui avait choisi de rester
dans l’ombre.
S'identifier pour envoyer des commentaires.