- EAN13
- 9782226378590
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 12/2015
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
L'Adieu à Bugatti
Lettre à Ettore trouvée au chevet de son frère Rembrandt
Patrice de Méritens
Albin Michel
Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 15,00
Au début de l'année 1916, dans son atelier de Montparnasse, le sculpteur
Rembrandt Bugatti rédige une longue lettre avant de se donner la mort. Elle
est destinée à son frère, Ettore, célèbre constructeur automobile. À travers
cette ultime et fervente invocation, Patrice de Méritens retrace le tragique
et fascinant destin de ce jeune sculpteur disparu à l'âge de trente et un ans.
Issu d'une famille d'artistes milanais, cet enfant mal aimé connaîtra en effet
une trajectoire fulgurante. À Milan, dans l'ombre de Troubetzkoy, le "prince
sculpteur", puis à Paris sous l'oeil admiratif de Rodin, où il se lie à
Modigliani, Montesquiou, Proust, ou encore au Duc de Gramont. Ettore, lui, a
depuis longtemps épousé la femme qu'il aimait, dont Rembrandt était aussi
amoureux. L'un est au firmament des arts, l'autre à la pointe du modernisme.
Étranges similitudes qui pourtant laissent déjà apparaître les différences :
il y aura toujours l'homme riche et l'homme pauvre...
Passionnant portrait d'une époque révolue mais aussi d'une famille d'artistes,
L'adieu à Bugatti évoque avec finesse l'inaltérable lien qui unit deux frères.
Un premier roman profond et sensible, dont se dégage une troublante impression
d'authenticité, qui laisse surtout entendre la voix peu connue d'un homme trop
fragile, hanté par une quête dont il redoute l'aboutissement.
Rembrandt Bugatti rédige une longue lettre avant de se donner la mort. Elle
est destinée à son frère, Ettore, célèbre constructeur automobile. À travers
cette ultime et fervente invocation, Patrice de Méritens retrace le tragique
et fascinant destin de ce jeune sculpteur disparu à l'âge de trente et un ans.
Issu d'une famille d'artistes milanais, cet enfant mal aimé connaîtra en effet
une trajectoire fulgurante. À Milan, dans l'ombre de Troubetzkoy, le "prince
sculpteur", puis à Paris sous l'oeil admiratif de Rodin, où il se lie à
Modigliani, Montesquiou, Proust, ou encore au Duc de Gramont. Ettore, lui, a
depuis longtemps épousé la femme qu'il aimait, dont Rembrandt était aussi
amoureux. L'un est au firmament des arts, l'autre à la pointe du modernisme.
Étranges similitudes qui pourtant laissent déjà apparaître les différences :
il y aura toujours l'homme riche et l'homme pauvre...
Passionnant portrait d'une époque révolue mais aussi d'une famille d'artistes,
L'adieu à Bugatti évoque avec finesse l'inaltérable lien qui unit deux frères.
Un premier roman profond et sensible, dont se dégage une troublante impression
d'authenticité, qui laisse surtout entendre la voix peu connue d'un homme trop
fragile, hanté par une quête dont il redoute l'aboutissement.
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