- EAN13
- 9782246834847
- Éditeur
- Grasset
- Date de publication
- 26/04/2023
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Grasset 17,00
« Quand le malheur nous prend pour cible, il faut parvenir à se souvenir
qu’on a goûté à la douce, à l’ineffable joie. Tu resteras mon plus beau
voyage, abordé sans guide, les yeux fermés. Ta présence et ton absence
convergent dans mon cœur. Je sais désormais que je pourrai toujours te trouver
en moi. Ceci est à nous. »
Un seul être vous manque est tout est dépeuplé sauf quand cet être s’appelle
Gaspard Ulliel, qu’il est un acteur mondialement connu, fauché dans un
accident de ski à 37 ans. Gaëlle Pietri s’adresse à l’homme qu’elle a aimé.
Lorsque Gaspard s’effondre dans la neige, ils viennent ensemble de fêter les
six ans de leur fils Orso. C’est pour lui qu'elle raconte. Les premiers
instants partagés, l’amour, la séparation, la douleur et la colère face à la
perte, fragments de vie dans lesquels il pourra retrouver son père quand il le
voudra.
Dans la lignée des plus beaux textes sur le deuil de Rilke à Didion, Gaëlle
Pietri nous livre son premier récit, lettre poignante d’une implacable
honnêteté sur le chagrin le plus indicible et la rédemption par l’écriture.
qu’on a goûté à la douce, à l’ineffable joie. Tu resteras mon plus beau
voyage, abordé sans guide, les yeux fermés. Ta présence et ton absence
convergent dans mon cœur. Je sais désormais que je pourrai toujours te trouver
en moi. Ceci est à nous. »
Un seul être vous manque est tout est dépeuplé sauf quand cet être s’appelle
Gaspard Ulliel, qu’il est un acteur mondialement connu, fauché dans un
accident de ski à 37 ans. Gaëlle Pietri s’adresse à l’homme qu’elle a aimé.
Lorsque Gaspard s’effondre dans la neige, ils viennent ensemble de fêter les
six ans de leur fils Orso. C’est pour lui qu'elle raconte. Les premiers
instants partagés, l’amour, la séparation, la douleur et la colère face à la
perte, fragments de vie dans lesquels il pourra retrouver son père quand il le
voudra.
Dans la lignée des plus beaux textes sur le deuil de Rilke à Didion, Gaëlle
Pietri nous livre son premier récit, lettre poignante d’une implacable
honnêteté sur le chagrin le plus indicible et la rédemption par l’écriture.
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